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▎ Job/Studies : après de longues études au MIT, Rose travaille dans une entreprise de base et sauvegarde de données informatiques. mais elle est surtout une indic pour le FBI grâce à ses talents de hackeuse
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Tu regardes ton téléphone. Ça fait bien dix minutes qu'il est silencieux. Si tu as reçu un message inquiet de Jane, tu l'as vite rassurée. Mais Elliott, lui, se fait muet. Quelque part, ça te rassure. Il est au volant pour venir te chercher à la gare, alors autant ne pas prendre plus de risque. Il a beau te dire qu'il est en commande vocale et qu'il ne prend pas de risque, le simple fait que tu lui répondes et qu'il pose ses yeux ailleurs que sur la route représente un risque. Alors tu attends patiemment. Enfin, non, pas trop patiemment. Parce que tu n'étais pas du tout au courant de cette histoire de neige et d'avalanche et malgré le froid de la ville, tu n'as pas pensé à partir autrement qu'avec une veste à peine épaisse et un bonnet. Ni écharpe, ni gants, ni rien. Tu n'es pour le coup pas la personne avec le plus de bon sens autour de toi, mais ça ne te dérange pas. Tu pensais simplement faire l'aller-retour à Boston pour récupérer les affaires que tu as laissées dans le bureau qui était jusqu'alors le tien désormais que des bureaux s'ouvrent à Fall River.
Lorsque tu reçois une notification, ton espoir s'envole vite avec une notification d'information de la situation en ville. Bien joué Taunton Gazette, mais t'es en retard ! Mais tu n'as pas besoin que ton téléphone sonne de nouveau pour apercevoir Elliott au volant. Tu te rues vers lui tandis qu'il klaxonne en te voyant. Oui, oui, tu l'as vu. Tu lui souris en pressant le pas, sautillant presque pour te réchauffer ou pour vite te réchauffer dans sa voiture.
Tu rentres côté passager en un rien de temps et dépose un bisou sur sa joue.
- Merci vraiment d'être venu, Elli. J'aurais préféré que tu restes en sécurité mais j'apprécie énormément.
Tu regardes vaguement autour de toi. Ouais, bon. Vous allez probablement mettre quatre fois plus de temps que prévu.
- Je viens de voir les infos. Apparemment, ton quartier est bouclé. Je t'aurais bien proposé de me déposer chez Jane, mais tu vas te retrouver tout seul bloqué dans ta voiture... Tu veux venir te poser chez moi ? À vrai dire, tu n'as pas envie de l'embêter. Tu sais très bien qu'il a probablement d'autres personnes chez qui se poser... comme Athéna, mais tu n'arrives pas à te mettre à l'idée qu'il puisse prendre des risques supplémentaires. Puis à défaut de mieux il te reste quelques cartons à faire pour déménager. Même si les papiers ne sont pas encore signés, t'as deux appartement qui te font de l'oeil, alors tant qu'à faire, autant être prête pour celui qui voudra bien de toi.
Dernière édition par Rose Quinn le Mer 8 Fév 2023 - 15:16, édité 1 fois
Elliott S. Collins
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Minutes interminables qui te séparaient de Rose. Pourtant, tu répondais à ses messages jusqu’ici. Mais la frayeur que tu t’étais fait en glissant sur une plaque de verglas, à trois secondes de saluer l’automobiliste devant toi en entrant dans sa voiture par le coffre t’avait dissuadé : mieux valait prendre sur toi que de ne pas récupérer Rose… voire d’y perdre ta voiture. Dieu que c’était long. Tu imaginais Rose, grelottant sous son abri, pester contre ta lenteur, à chopper une pneumonie. Les mâchoires serrées par l’agacement que t’infligeaient ces bouchons, tu râlais, klaxonnant comme un malade : toi qui, en temps normal détestais ce genre de personnes, voilà que c’était toi, qui te transformais en connard. Tu soupirais, pinçant les ailes de ton nez entre ton pouce et ton index ; technique de réflexologie apprise par ton manager. Thanks Jeez. Tu mordillais ta lèvre inférieure et au bout de quelques longues minutes, tu parvins enfin à te faufiler jusqu’à ta Rose. Tu lui fis un signe de la main, ton agacement bien vite balayé lorsque tu croisais sa frimousse rougie par le froid, et déposais à ton tour un baiser sur sa joue « entre vite ! T’as pas trop froid ! Tiens, j’t’ai pris un manteau si tu veux ! » tu lui adressais un sourire et lui signifiais le manteau molletonné que tu avais posé sur la banquette arrière « J’allais pas te laisser là dans le froid pendant que j’étais sous ma couette ! De toutes façons, je n’avais rien à faire de spécial aujourd’hui. Tout est bloqué, mes répétitions ont été annulées à la dernière minute. D’ailleurs… comment ça se passe pour toi ? T’as pu te faire rembourser ton billet ou quelque chose ? » avais-tu demandé en reprenant la route, concentré : tu n’étais pas certain de la route pour revenir jusqu’à chez elle, assez alcoolisé, lorsque tu l’avais raccompagnée. Et là, tu levais les yeux au ciel « attends quoi?! » surpris… Et pourtant, c’était tellement prévisible. Tu grimaçais « j’pensais pas que ça prendrait du terrain aussi rapidement… Avec plaisir, bien évidemment que je veux bien ! t’es sûre que ça te dérange pas ? » Tu mordillais ta lèvre inférieure et arrivais dans la rue de Rose : au fond, tu ne te ferais pas prier pour passer plus de temps avec la jeune femme, mais tu ne voulais pas abuser. Peut-être préférait-elle rester tranquille après tout.
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Tu as froid, mais tu n'es pas frigorifiée malgré tout. Tu sais très bien que tu devrais être gelée comme jamais, mais entre le réconfort de te dire que tu vas passer du temps avec Elliott quand tu étais à l'extérieur et celui d'être avec lui une fois à l'intérieur, tu n'y fais pas trop attention. Après tout, passer du temps avec un ami, c'est tout ce dont tu as besoin.
Électrisée par le froid ou par ce contact chaud sur ta joue (ou simplement ce contact avec Elliott, bien que tu ne le réalises simplement pas vraiment, toujours persuadée que les circonstances sont en cause), tu ne sens pas tes lèvres s'élargir de contentement tandis que c'est d'un autre rouge que tes joues se colorent, loin du froid, plus proche du contentement et du ravissement que d'autre chose.
- Aaaah ! Super, tu gères, affirmes-tu en prenant le manteau qu'il t'a désigné sur la banquette arrière. Tu mets un peu de temps à l'enfiler, essayant tant bien que mal de ne pas lui mettre un pain dans le visage d'Elliott. Ce serait bien dommage et tu ressens déjà la culpabilité de la chose sans même l'avoir faite, juste en essayant de l'éviter. Tu aurais pu, c'est moi qui n'ai pas géré, ma responsabilité, tu sais. Sa couette... tu ne sais pas pourquoi, mais ces paroles ont un côté attrayant et... non. Tu secoues la tête négativement. Non, mais c'est l'entreprise qui gère le remboursement du billet pour l'aller-retour... comme je suis encore employée chez eux, c'est leur charge, pas la mienne. Ils avaient qu'à tout m'envoyer par recommandé, je l'aurais récupéré n'importe où en ville plutôt qu'à Boston. Tu marques une pause. Où ils auraient pu se déplacer eux, tu me diras aussi.
De nouveau, tu secoues la tête. Non, ça ne me dérange pas, ne t'en fais pas. Et puis, au moins, on remplira plus d'espace à deux, ça réchauffera le salon plus vite. Tu lui adresses un sourire en coin, sans pour autant le moindre sous entendu. Du moins pas conscient. Ton chauffage fonctionne... mais tu te doutes que l'appartement d'Elliott doit être beaucoup plus grand donc beaucoup plus long à chauffer... du moins c'est l'idée que tu t'en fais face à ton quasi studio (bien que ta chambre soit une pièce à part). Et puis, tu me connais. Si ça me dérangeait, je t'aurais pas proposé.
Il a pris mon coeur en lot de consolation On fera p'tet pas l'tour de la Terre, mais ma plus grosse dépendance c'est toi.
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La voir se tortiller dans tous les sens pour mettre le manteau te fait rire. Bien évidemment, la proximité de l’habitacle n’était pas pour aider, mais tu ne parvins pas à réprimer ce sourire amusé qui trahissait ton esprit taquin tandis que tu évitais de justesse un ou deux gestes malheureux. Non, tu ne prendrais pas de patate dans la face, surtout pas venant de Rose. Attentif, tu l’écoutais t’expliquer comment les choses se dérouleraient. Soulagé pour elle, tu souriais « s’ils décident de prendre en charge, c’est une bonne chose. Et puis… si tu as besoin de bras pour récupérer tes affaires… peut-être … que je pourrai venir avec toi la prochaine fois ? » desiderata d’enfant de cinq ans qui veut absolument ce doudou tant convoité dans le rayon jouet d’un grand magasin, tu te surprenais à jouer les pots de colle auprès de Rose. Clairement, ce n’était pas ton genre, c’était même le contraire : toi qui passais ton temps à fuir les moments qui trahiraient une affection quelconque pour une jeune femme, voilà que tu jouais dans l’équipe adverse. Désarçonné par ce comportement qui t’était pourtant venu si naturellement, tu bafouillais « enfin si tu veux ? J’veux pas m’imposer ou… chacun est libre... » gêne insoutenable pour toi , tu te raclais la gorge et fixais la route sur les quelques derniers kilomètres qui marqueraient la fin de cette épopée neigeuse, lançant de temps à autres quelques regards bienveillant à Rose qui te proposait de rester chez elle : tout pour encourager ce comportement que tu venais d’avoir et qui t’avait fait buguer. Tant pis. Tu plongeais la tête la première, tant pis si tu te cassais la gueule : à quoi bon lutter alors que tu savais pertinemment que tu ne résisterais pas très longtemps ? « alors si c’est proposé de si bon coeur… je ne peux qu’accepter. Mais c’est bien parce que c’est toi ! » tu lui adressais un sourire amusé et mordais ta langue pour ne pas relever la phrase de Rose qui aurait fait questionner n’importe qui, sans qu’il soit question de contexte : avais-tu rêvé ce double sens ? Nom de dieu, tu perdais pied, voilà maintenant que tu hallucinais ! Tu fronçais les sourcils et passais ta main sur ton front, l’air de rien, histoire de remettre un peu d’ordre sous ta tignasse : au pire des cas, elle penserait que tu as mal de crâne, tu prétexterais que ce n’est que le froid, voilà tout. Un peu pensif, tu te garais devant chez elle et lui adressais un sourire « j’suis pas peu fier de ma mémoire ! J’ai réussi à me souvenir de ton adresse ! » que tu t’exclamais, fier comme un gamin ayant réussi son dessin… sans même voir ce que ça trahissait.
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Bon, c'est clair, t'es pas la plus douée pour récupérer et enfiler un manteau, mais dans une voiture, c'est pas vraiment l'évidence même, si vous voyez ce que je veux dire... Tu acquiesces, les yeux rivés sur la route. Après t'être autant agitée tu crains le haut le coeur nauséeux. C'est clair. Je l'aurais mal pris dans le cas contraire et aurais peut-être même fait une scène... à force, ils me connaissent, ils savent ce qu'ils évitent. Tu le regardes un instant, étonnée, bouche bée, sans trop savoir quoi répondre. Putain, Rose, réponds. Bah écoute, oui, pourquoi pas, c'est gentil. T'auras pas besoin de bras supplémentaires. Mais un Elli, c'est toujours une proposition que tu prends sans hésiter... enfin ou presque, une fois remise de la surprise de sa proposition alors qu'un carton suffirait largement à tout mettre... la preuve de ta mini valise avec toi.
Tu lui souris et pouffes légèrement. Pauvre Elli. À vouloir te rendre service, t'as l'impression de le mettre plus dans l'embarras qu'autre chose.
- Hé ! tu t'imposeras jamais, d'accord. J'adore le temps qu'on passe tous les deux, c'est précieux pour moi. Alors si, moi, je ne te prends pas ton temps et que je te soule pas trop, je suis preneuse d'un peu plus de temps avec toi, tu sais. Cet aveu, même toi tu ne t'y attendais pas. Et en même temps t'as l'impression d'être en pénurie de vos moments tranquilles, vas savoir pourquoi.
Si tu avais remarqué ton double sens, la honte se serait emparée de toi. Mais c'est pas le cas. Tu regardes droit devant toi, tout sourire, sans même penser une seule seconde que tu peux lui avoir retourné le cerveau avec trois petits mots pourtant innocents, séparément.
- Je vois ça. Je suis agréablement surprise, je pensais que tu avais l'alcool amnésique. Ou peut-être que tu l'espérais.
Une fois garés, vous vous extirpez de la voiture pour vous mettre dans le froid le temps de monter chez toi. Une fois en haut de l'escalier, tu réalises que tu as amené Elliott dans l'endroit le plus insalubre de toute la ville, et tu t'en veux un peu... mais ce n'était pas comme si les circonstances vous permettaient d'aller boire un verre ou de vous poser au cinéma. Pour l'instant, insalubre ou pas, ici, vous étiez en sécurité.
Tu balances tes clés sur ta table.
- C'est pas la grande classe, c'est petit, pas ultra aux normes, mais bienvenue chez moi. Enfin, pour l'instant.
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Lorsqu’elle avait évoqué l’esclandre évité, tu avais ri légèrement. Un truc imperceptible. Un soufflement de nez qui trahissait ton amusement, mais surtout, montrait que tu n’étais pas si surpris : tu savais que Rose pouvait avoir du caractère, lorsqu’elle le jugeait nécessaire. Heureusement pour toi, elle ne s’était jamais énervée contre toi. Du moins, pas autant que ce dont tu la savais capable. Tu t’estimais heureux de ce traitement de faveur de la part de la jeune femme et hochais la tête en guise de confirmation : tu l’écoutais. Incapable de savoir comment serait prise ta proposition, tu avais paniqué. A rien de faire marche-arrière dans tes propos, tu t’étais embourbé dans ce qui aurait pu s’apparenter à des excuses, avant de réaliser que… elle avait dit oui ?? » tu ne réalisais pas tout de suite, mais lorsque l’information montait enfin à ton cerveau, un immense sourire se dessina sur ton visage. Surtout lorsqu’elle ajoutait que tu ne t’imposais pas. Mieux encore, elle avait dit adorer le temps que vous passiez ensemble. Ca, tu l’avais pas rêvé, pas plus que son « c’est précieux pour moi » qui avait suffi à mettre le feu aux poudres. Dans ton coeur, comme un feu d’artifices qui éclatait. Agréable, le genre de douce chaleur qui engourdissait ton corps jusque dans tes tripes. Cette sensation, Charlie seule savait la déclencher en toi, t’étais persuadé que tu ne la vivrais plus jamais, et pourtant, ils étaient là : les fameux papillons, pluie de confettis multicolores qui logeait confortablement au creux de ton ventre, remontant de temps à autres à ton coeur – sur le coup, t’aurais d’ailleurs pu croire à une crise cardiaque. Le rouge t’était monté aux joues, ton sourire toujours sur les lèvres, tu commençais à avoir mal aux zygomatiques, mais c’était plus fort que toi « si je propose… c’est que ça ne me dérange pas, tu ne penses pas ? » tu marquais une courte pause, hésitant : ce n’était pas tous les jours que tu dirais ce que tu t’apprêtais à dire « c’est… c’est précieux pour moi aussi tu sais ? » ton regard se posait sur elle, ce qui avait suffi à te décontenancer. Tu balbutiais et parvenais à rattraper le coche de tes pensées embrouillées « j’veux dire… les moments ensemble… je… merci. » tu lui adressais un sourire gêné, encore plus lorsqu’elle fit mention de ton hypothétique alcool « quelque chose ». Amnésique, violent, drôle, amoureux, peu importait. Tout à coup, le regard de Rose te pesait. Comme une nouvelle rencontre, tu avais espéré qu’elle se souvienne de toi sous ton meilleur jour. Quitte à faire abstraction de ces nombreuses soirées passées avec ta jumelle, tous les trois. Tu mordillais ta lèvre inférieure et tentais de noyer le poisson « j’ai toujours eu une mémoire sélective… tu sais bien ! Je retiens que les trucs importants pour moi ! » tu lui adressais un clin d’oeil et attrapais sa valise, la suivant jusqu’à l’intérieur « tu déménages ? C’est étonnant ! Ça a son charme pourtant ! » tu pouffais de rire avant de poursuivre « t’as déjà trouvé un appart ? »
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Tu lui souris en réalisant que vous avez plus ou moins la même ligne de pensée. Vous proposez pas pour rien. Après tu sais comment est Elliott et tu sais bien que jamais il ne proposerait s'il en avait rien à faire. Mais c'est plus fort que toi tu as cette peur panique de l'empêcher de faire ce qu'il a envie de faire. Comme si ce temps passé loin de la ville avait fait de toi une inconnue, le genre d'inconnue que tu ne laisses pas entrer dans ta vie comme il semble être d'accord de te laisser entrer. Comme avant. Ou presque. Parce que ce feu qui brûle intérieurement et que tu t'efforces de nier et ignorer, tu ne crois pas l'avoir ressenti pendant que vous étiez adolescents. Peut-être parce que chaque sortie n'était pas juste tous les deux comme c'est beaucoup le cas actuellement. Ou peut-être juste que, comme aujourd'hui, tu n'as jamais pleinement réaliser ta dépendance à sa présence, lui qui sans le savoir apaise tellement de tornades paradoxales dans ta tête depuis tes histoires. Mais dans tous les cas, tu t'es promis, donc c'est inconsciemment que tout ça est enfoui dans un coin de ta tête, trouvant excuse pour chaque embrasement de tes joues ou de ton cœur.
Et en parlant de cœur qui s'embrase... Tu n'arrives pas à dire un mot à son retour de presque compliment. Tu aurais pu lui dire que tu avais besoin de lui, de sa présence, de son sourire. Mais ça te semble tellement dérisoire. Comme si tu en avais oublié les tenants et les aboutissants, comme si ceux d'une relation homme-femme pouvaient être ceux-ci alors qu'au fond de toi, une infime part de ton inconscient réalise que no Arno ni Brett, ni aucun crush de ta vie à été à ce point ancré dans ton âme. Tu n'as jamais ressenti ça. Pourtant, tu t'obstines à considérer Elliott comme "un ami". Tu parles, oui.
Tu réalises que tu l'as un peu mis mal à l'aise et tu t'en veux un peu. Faut-il enfoncer le clou en ajoutant que tu as l'alcool euphorique, toi ? Pourtant tu ne dis rien, marmonant un très léger « je suis désolée, je ne voulais pas dire ça » qui se noie pourtant très vite dans d'autres bruits, dans d'autres choses, comme ton sourire de débile. "Les trucs importants pour moi". Cela signifie-t-il que tu l'es pour lui ? D'un revers du main tu chasses cette idée.
Tu regardes ton appartement. C'est vrai que, maintenant qu'il est là, tu ne voudrais être nulle part ailleurs que dans ton appartement. Est-ce que c'est ça "avoir du charme" ? Tu ne sais pas mais pourquoi pas, après tout.
- Quand les personnes que j'apprécie y sont, c'est vrai qu'il a eu charme. Mais le reste du temps c'est juste un vieil appartement laissé à l'abandon. tu hausses les épaules. Rien à ajouter. J'ai craqué sur deux appartements en ville, j'attends la réponse de l'agence pour savoir lequel a un propriétaire qui veut bien de moi. On verra bien.
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Sur la même longueur d’ondes. En remarquant que vous pensiez plus ou moins à la même chose, tu souriais bêtement, comme un ado venant de recevoir son premier baiser. A t’imaginer de l’extérieur, tu te serais mis des claques. Il était passé où, le Elliott tombeur de ses dames, qui sortait de chaque soirée avec une blonde différente au bras ? Peu importait. T’étais même pas sûr de vouloir le recroiser un jour, tant que t’avais Rose avec toi. Que c’était mièvre mais que c’était vrai. Plus tu réalisais que ce n’était pas simplement de l’amitié que tu ressentais pour elle, plus tu paniquais. Pourtant, tu n’aurais voulu pour rien au monde troquer ces sentiments que tu n’avais pas ressentis depuis si longtemps maintenant… tu soupirais, passant ta main dans tes cheveux et Rose t’emboîtait le pas, t’invitant à entrer dans son petit appartement. Petit, mais cosy. Pas le grand luxe, mais suffisant pour une personne seule, faute de trouver mieux. A vrai dire, peu pouvait importer le cadre, tant que vous étiez ensemble. Elle aurait pu vivre dans une décharge, que tu l’aurais suivie les yeux fermés. Enfin, peut-être pas : tu ne l’aurais pas laissée vivre dans un dépotoir. Dans ta tête, tout s’est emmêlé. Ses sous entendus – dont tu ne savais toujours pas s’ils étaient volontaires ou non ; sa déclaration d’amitié (ou d’amour ? Tu n’en savais rien. Mais dans le doute, tu préférais partir du principe que tu étais friendzoné.)… ce trajet à l’ambiance aussi confortable qu’étrange… Heureusement, pas dans le mauvais sens du terme. Le coeur gonflé à bloc, tu laissais sa valise dans l’entrée et retirais ton manteau que tu accrochais au dos d’une chaise, et t’asseyais sur le canapé, haussant les épaules « ouais mais ça, c’est vrai pour tous les apparts : ils ont toujours plus de charme, habités par ceux qu’on aime. Ca vaut pour… un vieil appart » tu signifiais la pièce d’un geste de la main et terminais « ça vaut pour un plus récent en centre ville. » tu faisais clairement référence au tien : tu avais beau l’adorer, tu ne supportais plus la colocation avec tes états d’âme « la présence de ceux qu’on aime aide beaucoup. Tu te souviens le premier appart tout pourri que j’avais ? Il suffisait que vous veniez, toi et Athé pour qu’il ne devienne un palace à mes yeux. Même pour quelques heures. » tu lui adressais un sourire avant de conclure « j’comprends mieux, pour les cartons un peu partout, du coup. J’espère que t’auras une réponse rapidement ! Et puis… tu sais où me trouver en attendant. Même si t’en as marre de ton petit appart et que tu préfères voir autre chose. T’as qu’a appeler : je serai fidèle au poste ! » lui lançais tu souriant, le tout accompagné d’un clin d’oeil.
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Rose Quinn
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▎ Job/Studies : après de longues études au MIT, Rose travaille dans une entreprise de base et sauvegarde de données informatiques. mais elle est surtout une indic pour le FBI grâce à ses talents de hackeuse
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Non, clairement, ce presque rendez-vous avec Elliott, même si ça n'en est pas un, c'est quelque chose. Tu ne t'attendais pas à ce qu'il te suive et en même temps tu es un peu mortifiée de le faire venir dans ce vieux bâtiment presque en ruines. Bien sûr, tu exagères. T'as réussi à faire de l'intérieur de l'appartement un truc pas trop dégueulasse. Si ce n'est pour la présence des cartons qui prennent plus de place que tu ne l'aurais voulu mais autant tu as hâte d'avoir une réponse, autant tu préfères faire traîner le moment où tu emballes et déballes tout.
Tu le regardes prendre ses aises et prendre place avec un petit sourire de satisfaction. Clairement, l'appartement est assez illuminé par la présence d'Elliott. Pour une fois que tu reçois quelqu'un d'autre que Jane. Oh, bien sûr, tu adores ta cousine et avec elle aussi, ton appartement prends des airs de nouveautés. Mais peut-on simplement comparer du temps avec Jane et du temps avec Elliott ? Non, et en même temps, oui. Avec ta cousine, vous mettez des miettes de chips partout et tu mets des heures à faire le ménage. Là tu regrettes presque de ne pas avoir passé l'aspirateur mais t'es loin d'être une bordélique, Rose. Si ce n'est pour les cartons, ton appartement est tout de même bien rangé.
- Exactement. Tu lui souris, tes joues rosies. Mais en sa présence, elles le sont toujours, sans qu'il n'ait besoin de dire un seul mot. Au moins, pas besoin de blush pour ça... même si ça pourrait tout aussi bien cacher ce rouge au joues. Non non ! Provoqué par le froid uniquement.
Tu te laisses tomber à côté de lui, sur le canapé, sans même faire attention au fait qu'il ait étendu son bras sur le dossier, suffisamment proche pour te servir de son bras comme d'un coussin. À moins que tu ne l'aies fait exprès ? Bien sûr que tu l'as fait exprès. Tu évites tout de même de poser ta tête violemment contre son bras, n'hésitant pas à tourner ta tête vers lui malgré tout avec un sourire malicieux. Même toi, tu ne sais pas pourquoi tu as fait cette action, mais elle ne te déplaît pas.
- J'ai pas grand chose à t'offrir : de l'eau, du sirop à la mandarine... et en plus intéressant, j'ai une bouteille de Vodka qui traîne depuis trop longtemps et... tes joues rosissent de honte. du limoncello que mon père a tenu que je garde quand il est venu pour les fêtes. Tu remontes doucement tes yeux le long de son visage pour les planter dans les siens avec un sourire plus grand encore. Je suppose que ce sera du sirop pour toi, n'est-ce pas ?
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Silencieux, tu regardais autour de toi, comme pour ne pas déranger les affaires de Rose de ta présence. Comme… en Terre inconnue. Tu apprivoisais les couleurs, les odeurs, les bibelots, non sans être intimidé, malgré les apparences que tu laissais entrevoir volontairement à la jeune femme. Elliott ? Incertain ? La légende raconte que ça existe. Mais seule Athéna connaissait réellement tes incertitudes. Pour ce qui était des autres, ça, c’était une autre histoire : personne n’avait été témoin de tes descentes aux enfers, aussi violentes soient elles ; sans doute pour ça, que tu te saoulais de bruit et d’alcool : tant que tu étais entouré, tout allait. Ta kryptonite ? La solitude. Tu observais Rose, souriant en la voyant s’installer contre toi. Pour le coup, t’étais loin de t’y attendre. Mais tu ne l’aurais repoussée pour rien au monde. Comme un enfant, tu t’imaginais déjà la conversation que tu aurais avec Athéna. Ton extase en lui racontant « non mais tu te rends compte ?! Elle était contre moi ! » elle se frappant le front face à ton comportement de puceau puis te racontant sa panique face à Lemony devant qui elle se liquéfiait à chaque fois : pas évident de vivre sous le même toit que son crush. A croire que chez les Collins, on aimait le challenge. Se mettre dans l’embarras ? Plus qu’une passion, une vocation !
Machinalement, ta main se posait sur l’épaule de la jeune femme, ton regard posé dans le sien, tandis qu’elle te proposait à boire… Insistant sur le sirop. Ne sachant pas vraiment ce qui se cachait derrière cette insistance, tu hochais la tête « bien sûr que c’est le sirop ! J’suis pas fait d’éthanol, ça m’arrive, de boire de l’eau aussi, hein ? » tu pouffais de rire avant de réaliser : parler d’éthanol pour parler d’alcool, c’était soit un truc d’automobiliste, soit un truc d’alcoolique : mais dans ta voiture, c’était du gazoil, que tu mettais. Restait donc… eh merde. tu lui adressais un clin d’oeil amusé, et regardais par la fenêtre « c’est à se demander quand il s’arrêtera de neiger ! » avais-tu lancé, histoire de changer de sujet discrètement : l’art de sauter de conversations en conversations ? Tu le maîtrisait savamment : tu étais un slalommeur hors pair, lorsqu’il s’agissait d’éviter les sujets que tu condamnais, et ton supposé alcoolisme en faisait partie. Tu n’étais pas malade : tout était sous contrôle.
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Tu ne connais pas tellement le Elliott qui ne parle pas et qui regarde autour de lui pour scruter son environnement, mais apparemment, ça existe et ça t'amuse autant que ça t'étonne. Bon, en même temps, vous êtes tous les deux dans un état de découverte, semblerait-il. Même si lui, c'est visiblement parce qu'il n'est jamais venu ici. Toi parce que tu es dans un état qui ressemble à tes états euphoriques les quelques fois où tu bois de l'alcool.
Le contact de sa main sur ton épaule te donne un frisson de chaleur auquel tu ne t'attendais pas. Est-ce que c'est la neige dehors qui permet au froid de s'infiltrer sous ta fenêtre qui rend sa main si chaude et te fait ressentir ce frisson ? Oui, ça ne peut être que ça. Et pourtant, ton cœur s'est un peu emballé à ce contact que tu as provoqué toute seule.
- Je n'ai jamais rien dit. Du coup sirop de mandarine pour toi, vodka pour moi, je suppose. Je peux te faire chauffer l'eau, ça peut te faire un petit thé pour te réchauffer. Bien sûr tu serais capable de lui proposer de te coller un peu plus à lui pour ça, mais tu ne voudrais pas mettre un nouveau double sens entre vous. Vous êtes amis, tu ne veux pas ni l'effrayer ni le faire fuir. Tes amis ici t'ont beaucoup trop manqué du temps où tu étais à Washington puis à Boston pour risquer de mettre en péril des amitiés aussi importantes à tes yeux que celle qui te lie à Elliott. Tant que je suis au chaud, il peut neiger dix jours que ça me dérange pas. Tu le regardes de nouveau, pas vraiment en position de te relever, son bras sous ta nuque. Par contre, s'il continue de neiger, tu risques d'être bloqué s'ils arrivent pas à déblayer ton quartier... Et ça t'embête uniquement pour une chose : il n'aurait aucun confort à rester là, avec toi. Tu finis par te lever, profitant pour enlever tes chaussures et rester avec tes grosses chaussettes en coton. Tu passes tes mains sous l'eau rapidement et récupères deux verres, la bouteille de sirop et celle de vodka. En revenant tu reprends ta position, non sans avoir posé le tout sur la table basse derrière. Bon, si on te demande, c'est ma faute. Il me manquait un bras pour une bouteille d'eau. Vodka-Sirop ?
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T’étais comme hypnotisé. C’était con, mais tu imaginais les journées de Rose dans cet appart. Ses petits déjeuners, sans doute installée dans la cuisine face à un café fumant, à scroller sur son téléphone ou écouter un podcast de développement personnel, ou tout autre sujet – pourquoi l’avais tu imaginée à écouter ce genre de trucs ? Sa douceur, sans doute. Ton regard se tournait vers le fauteuil. Sans doute s’y installait-elle le soir pour lire, jusqu’à ce que la torpeur ne s’empare d’elle. Vision trouble, tu pouvais quasiment la voir refermer son livre, rouler son plaid en boule sur l’assise de son fauteuil et quitter le salon pour se lover dans ses draps dont tu enviais la fonction : sauveurs de ses nuits, confidents de son sommeil, elle n’avait qu’a se lover dans sa couette pour s’endormir paisiblement. Un peu comme ta main sur son épaule. Geste anodin et pourtant, cela faisait tellement longtemps que tu ne t’étais pas senti si bien en sécurité.
A sa remarque, tu riais légèrement « je sais. J’te taquine ! » rapport maladroit à sa phrase, il y avait quelques minutes, dans la voiture. A croire que ça t’avait plus travaillé que ce que tu voulais bien admettre. Tu lui adressais un clin d’oeil, lui tirant la langue et t’affalais un peu plus contre le dossier du canapé, enfin réchauffé, tu suivais Rose du regard, lui adressant un sourire lorsque tu la vis revenir avec le sirop… mais pas d’eau. Tu fronçais les sourcils et te mis à rire face à son explication : « très bien… mais...j’vais quand même te prendre un verre d’eau. Parce que j’ai vraiment soif. » avais-tu lancé en te levant, allant chercher un verre où tu l’avais vu en attraper, et te servais au robinet avant de regagner ta place. Tu avalais quelques gorgées d’eau, posant ton verre sur la table basse et attrapais le verre de Vodka que Rose venait de te servir. Tu le levais en souriant « a ta santé Rose ! » avais-tu lancé avant de l’avaler beaucoup plus rapidement que ton verre d’eau.
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T'as pas l'air con avec ton sirop sans eau, mais tu sais que tu es pas le genre à oublier si bêtement ce genre de chose. Ouais, tu te refuses à l'admettre, sans trop que personne ne sache pourquoi, mais ce contact, cette présence qu'a Elli à tes yeux est nécessaire, elle est vitale. Et elle cache peut-être autre chose. Mais tu n'es sans doute pas prête à l'envisager, de peur de gâcher cette amitié qui vous lie. Elle est plus importante à tes yeux que les impressions, les sentiments et les sensations que tu peux avoir. Parce qu'enlever Elli de l'équation de ta vie, c'est courir vers un problème insolvable. Et tu n'as aucune envie de devoir apprendre à vivre sans qu'il soit présent dans ton quotidien.
Tu roules des yeux avec un sourire.
- Comme d'habitude, j'ai envie de te dire. T'es tellement bien, comme ça, la nuque sur son bras... ça n'équivaut à rien au fait d'être dans ses br... Rose ! arrête de penser. Alors forcément, quand il se lève, tu as du mal à ne pas le fusiller du regard, tout en ayant peur qu'il ne revienne pas dans cette position-là.
Tu t'occupes l'esprit comme tu veux, remplissant vos verres, la main lourde sur le sirop, persuadée que ça fera moins mal dilué dans du sucre que pur. Bien évidemment, ça, c'est parce que tu ne bois pas, sinon tu saurais que l'alcool va vous monter encore plus vite à la tête avec du sucre en plus. Quand il revient, tout est servi
- À la tienne, Elli. Si toi tu sirotes doucement ton verre (ou du moins plus qu'Elliott, tu mets le bien plus de gorgées que lui à finir et pourtant tu t'efforces de finir vite), c'est parce que tu as beau savoir boire, tu n'arrives pas à faire un quasi cul sec comme le fait Elliott. Tu regardes son verre vide :
- Tu en veux encore ? Il acquiesce et vous vous faites deux ou trois verres de plus, peut-être plus quatre ou cinq, en l'espace de dix minutes, avec le défi de finir le plus vite. Forcément, tu perds. Mais au moins tu ris à coeur joie, sans pensée à l'inquiétude envolée de voir Elliott bien trop boire et bien trop régulièrement pour sa santé.
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En allant chercher Rose, tu ne te serais pas imaginé un seul instant que ta journée (ou ta soirée d’ailleurs maintenant, tu étais incapable de dire l’heure qu’il était, mais il semblait faire nuit, si tu te fiais à ce que tu voyais à travers la fenêtre) prendrait ce pli là. T’avais prévu de ramener Rose en sécurité, peut-être lui tenir compagnie quelques heures, mais tu pensais rentrer. Pourtant, tu n’allais pas te plaindre. En fait, tu voyais ce semi-confinement comme une aubaine. Bien sûr que tu n’allais pas profiter de Rose dans le sens péjoratif du terme, mais tu n’allais pas non plus t’apitoyer à l’idée de passer plus de temps avec elle… t’en serais presque venu à espérer que les agents ne mettent le plus de temps possible à débloquer ton quartier. Rose posée contre ton bras, tu serais bien resté comme ça une éternité. Mais il avait fallu que tu casse tout et ailles te chercher un verre d’eau. Faussement déçu, tu râlais en t’installant de nouveau contre elle : « hey ! Reviens, t’étais vachement efficace comme bouillotte ! » clin d’oeil amusé et bienveillant, tu avais fini ton verre d’eau avant de prendre plus volontiers la vodka qu’elle te proposait… Un verre, puis deux, puis… bien trop pour les compter, tu avais l’impression étrange de flotter, comme sur un nuage. Voilà pourquoi tu aimais l’alcool : si tu faisais le con avec tes amis en soirée et que souvent, il était question de boire, les soirées tranquilles où il pointait le bout de son nez étaient elles aussi des plus intéressantes : toi qui vivais dans le stress, la tension, la nécessité d’être rapide, toutes les tensions disparaissaient : elles n’étaient plus qu’un vague souvenir. Dernier verre, tu tentais d’articuler tant bien que mal, le reposant à l’envers sur la table « ush… z’ai ga…ié ! Pause ? » tu riais et regardais l’heure, de tes deux yeux qui louchaient, clignant l’un et l’autre en décalé « on devrait p’t-être manger… ? » tu finis par te taire, honteux de ta langue qui commençait à trainer. Bordel, t’étais plus tout frais. L’air de rien , tu reprenais un verre d’eau pour te donner une contenance. Et puis, avec un peu de chance, ça diluerait peut-être ce que tu venais d’ingérer ? Attendant la réponse de Rose, ton regard se perdait dans le sien. Tu ne le réalisais pas vraiment mais tu ne pouvais pas t’en empêcher : elle était si belle, c’était irréaliste.
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Tu lui souris pendant qu'il se plaint alors que vous commencez à boire. Assez satisfaite par sa râlerie, tu en profites pour allonger tes jambes sur les siennes en plus de revenir coller ta tête sur son bras, sans pour autant lâcher ton verre. Par chance, tu n'en fous pas par tout, et c'est une véritable aubaine. Parce que si pour l'instant, ça te ferait plus rire qu'autre chose, tu sais qu'au réveil le lendemain matin tu seras plus grognonne, râlant après ta stupidité, peut-être même en rejetant la faute sur Elliott ou sur n'importe quoi d'autre, même tes voisins si discrets en ce jour d'alerte, tant que ça te disculpe. Parce que t'as beau être connue pour être suffisamment douce, t'es tout de même une sacrée râleuse, et une râleuse de mauvaise foi, qui plus est !
- J'ai une pizza dans le congélateur, si tu veux. Tu finis ton verre sur ces mots. T'as aussi une bouteille de vin ouverte au frigo, si jamais, mais t'as pas grand chose de plus à proposer. Toute façon, même si tu avais voulu accueillir Elliott dans de meilleurs conditions, rien n'est prêt pour ça. Alors, un peu plus, un peu moins, avec un peu de chance il n'y verra que du feu. Bien sûr, tu pourrais lui proposer de cuisiner un cake ou un truc pour ça : entre ta farine, tes oeufs et tes conserves, t'as bien de quoi faire. Mais t'es tellement bien comme ça, affalée et étendue sur lui que tu n'as pas particulièrement envie de bouger et pas très longtemps, non plus. Et puis... tu t'apprêtes à te lever et il se met à gronder, d'une voix pâteuse un "Non" qui te surprend par la force à laquelle il le dit, enlaçant ses bras autour de ta taille pour te forcer à rester sur le canapé. Morte de rire, tu retombes à la renverse sur le canapé.
- ELLIOOOTT ! te plains-tu, complètement hilare. ARRÊTE, TU ME CHATOUILLES ! T'as conscience que c'est pas volontaire mais entre l'alcool et le reste, tu ne ressens que ça. Ou alors ce sont les petits papillons qui naissent dans ton estomac qui te chatouillent. Le doute persiste. En l'espace de quelques mouvements et quelques secondes que tu ne réalises ni pour les uns ni pour les autres, tu te retrouves sur le dos sur le canapé et il ne tarde pas à avoir le dessus sur toi. Au figuré comme au sens propre. Tu mets quelques secondes de plus à cesser ton hoquet de rire et à reprendre ton sérieux. Tu ne sais pas trop ce qu'il se passe dans ta tête à ce moment là : tu ne peux pas te débattre parce qu'il appuie sur tes poignets et que tu n'as pas particulièrement envie de lutter non plus... Alors, tandis que ton sourire s'efface, prise d'un élan venu de nulle part, tu relèves la tête, réalisant que tes efforts sportifs ont commencé à faire de l'effet, tes abdos ne te faisant pas souffrir le martyr par l'effort... et dépose tes lèvres sur les siennes.
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Elle aurait pu se foutre de toi, lorsque tu lui avais exprimé ton envie à peine déguisé d’un contact avec elle, aussi mince fut-il. Pourtant, elle ne t’avait pas repoussé. Au contraire, elle avait même pris ses aises, ses jambes se dépliant sur les tiennes, sa tête se lovant contre ton bras. En vérité, ça te faisait drôle : en général, c’était Athéna, qui prenait cette place, confortable. Combien de siestes aviez vous tapé dans de telles postures, jusqu’à ce que tu ne te réveilles en râlant, pris par une crampe ? Pourtant, tu aurais supporté toutes les fourmis du monde dans tes bras, tant que Rose resterait installée de la sorte. Tu souriais à sa proposition et hochais la tête « c’est très bien une pizza !" Tu déposais un baiser sur son front, le plus naturellement du monde. Comme si tu avais fait ça depuis toujours. Comme si on parlait d’une évidence en évoquant ce geste anodin. Mais l’était il vraiment ?
Particulièrement de bonne humeur, tu l’avais rattrapée au vol tandis qu’elle essayait de se relever. Tu ne savais pas vraiment si c’était la vodka ou Rose qui te mettait dans cet état, mais, taquin, tu la retenais, littéralement. Tu voulais profiter encore un peu de ce moment de douceur. Seulement voilà : Rose se mit à se dandiner, rire, à t’assurer que tu la chatouillais … Tu étais pourtant certain de ne pas bouger d’un pouce ; t’avais d’ailleurs reporté quelques microsecondes ton attention sur tes mains, plus immobiles que jamais. Tu arquais un sourcil amusé avant de lancer, avec la même force que tu l’avais retenue « tu veux vraiment voir ce que c’est, quand j’te chatouille ? » tu pouffais de rire, te retrouvant rapidement au dessus d’elle, à la retenir par les poignets pour ne pas qu’elle se débatte ; t’étais aussi mort de rire qu’elle, que tu dévorais du regard. Moment de pause. Vos yeux qui se croisaient pendant ce qui te semblait être une éternité. Comme si tout dans la pièce tournait tout à coup au ralenti, voilà que, sans que tu ne l’aies vu venir, ses lèvres se posaient sur les tiennes. Ton coeur ratait un battement. Tu ne la repoussais pas, au contraire, tes mains se glissaient de part et d’autre de son visage que tu caressais de tes pouces avec une extrême douceur, relâchant par la même occasion ton emprise sur ses poignets. Doucement, tes lèvres quittaient les siennes pour se glisser sur sa joue, puis le long de son cou et tes bras l’enlaçaient, l’invitant à se rapprocher de toi ; enfin. Tu ne supportais plus cette distance qui vous séparait. Putain, mais à quoi étiez-vous en train de jouer ?
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Un moment suspendu dans le temps. Vos lèvres qui se touchent, c'est aussi naturel que ce que c'est étrange. Mais pas en négatif. C'est inattendu plus qu'étrange. Ton coeur s'emballe à tout va, tandis qu'il te rend ton baiser sans même prendre la peine de te repousser. Ce geste, tu ne sais pas trop pourquoi tu l'as fait, mais au moment où tu l'as réalisé, tu pensais le regretter. Et finalement, tu es aux anges, alors que vos lèvres ne se décollent pas. Plus encore, tu te ravis de ce rapprochement qui ne cesse de continuer encore et encore.
Ce que tu ressens pour Elliott, n'a primairement rien de physique. Pourtant, au final, si, aussi. Parce que, alcool ou non, son sourire te réchauffe le coeur et te fait oublier tous tes ennuis. Parce que ses vannes et son humour savent te dérider plus que quiconque d'autre... et surtout parce que chaque contact avec lui électrise chaque parcelle de ton corps. Tu n'as pas envie que cette étreinte ne cesse.
Incitée par l'invitation tacite de l'homme qui, finalement, te fait bien plus d'effet que tu n'aurais aimé l'admettre, tu te relèves pour te coller contre lui. Tu es d'abord un peu hésitante, cette petite crainte au fond de toi de faire la chose qui saura briser votre amitié n'étant pas complètement tue par l'alcool, mais tu finis par passer ton bras autour de sa nuque, ta main trouvant sa place dans ses cheveux, l'autre sur son torse, refusant complètement de lâcher prise. Enfin, de lâcher ta prise sur lui. Car pour ce qui est du reste, tu es en roue libre. Avec quelques verres de trop, tu aurais même pu dire des mots, des phrases que tu aurais regrettées. Toutes de trois mots. Toutes lourdes de sens. Et pas forcément toutes appropriées pour un premier baiser. Mais t'as aucune idée de si tu les penses toutes. Pour l'instant, tu profites de l'instant présent...
Et, un peu à contre coeur, tu t'écartes de lui pour reprendre ton souffle, posant d'abord ton front contre le sien avant de lâcher ce contact et de lui sourire, complètement béate... alors que les mots sortent malgré toi de ta bouche, sans jamais que ton sourire ne te quitte.
- Pardon... je ne sais pas ce qui m'a pris.
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Si on t’avait demandé ce qui venait de se passer, tu aurais probablement répondu euuuuh joker? error 404. La situation te paraissait tellement irréelle, que tu étais certain que tu allais finir par te réveiller à tout moment. C’était ça, l’idée. T’avais encore du trop picoler la veille, et tu délirais sévèrement. Pitié, que Rose ne soit jamais au courant de ce rêve étrange que tu avais fait à son égard. Discrètement, tu te pinçais histoire d’avoir le coeur net sur la nature de cette scène irréelle. Putain de merde, mais tu vas te réveiller oui ??? tu ne pouvais pas y croire ; tu te pinçais tellement fort que tu laissais une marque sur la peau de ton bras. Il fallait te rendre à l’évidence, ce que tu étais en train de vivre était bel et bien réel. Un sourire imbécile se fichait sur ton visage, des frissons s’emparant de toi, te secouant de part en part tandis que la main de Rose se perdait dans tes cheveux. Ta main remontait le long de son dos, lentement, comme pour apprendre le parcours, en mémoriser chaque millimètre. Seulement voilà : elle n’aurait jamais le temps d’arriver à bon port, la belle se décollant de toi. L’impression qu’on t’avait arraché une partie de toi, tu secoue la tête à ses mots, incapable de répondre, encore ému de tout ce que cette étreinte buccale et physique t’avait fait ressentir. Pour la première fois depuis une éternité, tu te sentais en vie. Tu ressentais de nouveau toutes ces choses que tu t’étais interdit de ressentir depuis la perte de Charlie mais qui pourtant te faisaient l’effet d’un shoot d’adrénaline pour les quarante-cinq prochaines années. Tes lèvres en réclamaient encore, cherchaient les siennes qu’elles venaient rejoindre, pour seule réponse à sa remarque. Ce qui lui avait pris ? Un éclair de lucidité, sans doute. Incapable de résister à la tentation, ta main se glissait dans ses cheveux, maintenant légèrement sa tête tandis que vos lèvres, de nouveau, s’enlaçaient. Entre deux danses, tu murmurais, souriant contre ses lèvres « restes… s’il te plait. » éclair de sobriété : ces mots que tu pensais avoir lâchés de façon totalement hasardeuse avaient pourtant un sens. Ils trahissaient ta peur de la perdre ; de te réveiller un beau matin et qu’elle soit repartie pour Washington : inconcevable pour toi.
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Cette porte de sortie que tu lui as laissée tout en espérant qu'il la refuse, tu t'attendais vraiment à ce qu'il la prenne. Simplement parce que, toi sobre jamais tu n'aurais envisagé une telle scène. Ou alors tu l'aurais mis, comme c'est déjà le cas, sur le fait qu'Elliott, lui, n'est pas sobre. Oui. Quand ses lèvres se posent à son tour sur les tiennes tu réalises à quel point tu avais désiré cette action de sa part. Qu'il ouvre ta porte de sortie t'aurait dans doute fait plus de mal qu'autre chose et ton coeur, désormais affolé au point d'avoir clairement dépassé les limites de vitesse, t'empêche clairement de respirer. Seulement tu es comme en apnée sans même t'en apercevoir, comme pour refuser l'essoufflement que devraient provoquer ces battements déchaînés.
Tes mains ont repris place là où elles avaient trouvé refuge, celle sur son épaule dévalant subitement le bras de celle-ci. Il ne t'en faut pas beaucoup plus pour réaliser que ce contact ne te suffit pas. Pas n'importe quel contact. Celui d Elliott. Encore plus hors d'haleine à cette pensée tu ne réalises même pas le frisson d'effroi qui t'a parcouru l'échine. Car si toi, Rose, tu es désormais guidée par ton cœur, ton cerveau, lui, fait son travail sans toi. Brusqué, il essaie de te faire comprendre ce qui devrait t'effrayer et que tu n'as pas envie d'écouter. Si tu souhaites aller plus loin, il n'est pas d'accord. Simplement parce que ça fait de longs mois, un peu plus d'une année, même, que tu n'a pas été intime avec un homme. Pire encore, tu n'es jamais allée plus loin qu'avec Arno et ton dernier baiser était échangé avec lui datait des jours avant qu'il ne te vire sous prétexte que tu l'aurais trompé, n'ayant rien fait d'autre que de partager les sentiments pour lui avec un autre, incapable de choisir un camp. Alors pour le rapprochement intime, rajoutons encore quelques jours supplémentaires.
Non non. Il n'est pas question ni de Brett, ni d'Arno. Il n'y a qu'Elliott. Et toi. Vous, c'est suffisant.
- Toujours, murmures tu avec douceur contre ses lèvres. Tu n'as aucune envie de t'éloigner, de toute manière. Étant chez toi, n'aurait-ce pas dû être toi qui le lui demandes ? Sans même t'en rendre compte, cette même main qui caressait autrefois son bras passa sur son flanc pour jouer avec son pull... Et finalement passer dessous. Qu'est-ce qui te prend, Rose ? Ton cerveau s'affole, et ton cœur aussi bien que d'une manière complètement différente. Et tout ce que l'un comme l'autre note encore et encore c'est le naturel de ce rapprochement. Comme si l'évidence avait toujours été là. Alors que la Rose sobre ne l'aurait peut-être pas dit ainsi...
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Cette fois, tu n’avais pas eu de doute, elle t’avait bel et bien tendu une perche que tu n’avais pas pu ne pas prendre. Cette fois, tu ne te posais plus de questions. Qu’importaient les « sous-entendus », tu savais que tu avais bien compris. T’étais sûr de toi, sans doute parce que c’était l’envie, qui te gouvernait. Fuck la raison, tu avais mis ton cerveau embrumé en veille, le tout très probablement facilité par les verres qui s’étaient enchaînés en si peu de temps. Porte de sortie refermée : tu n’avais pas l’intention de t’arrêter en si bon chemin alors de nouveau, tes lèvres venaient capturer les siennes avec envie. Tes mains glissaient dans son dos, jouant avec le tissus de ses vêtements. Surpris par le contact de sa main contre ta peau, tu souriais contre ses lèvres. C’était loin de te déplaire. En fait, tu ne le savais pas encore, mais tu réalisais en sentant sa main contre ton échine que tu avais toujours eu besoin de ce contact. Ta main venait irrémédiablement se glisser à son tour sous son pull tandis que la seconde replaçait une mèche de ses cheveux derrière son oreille avec tendresse: tu voulais pouvoir mieux l’observer, ton regard perdu à examiner le moindre détail de son visage, comme si tu le voyais pour la première fois. Sourire aux lèvres, tu te rapprochais encore d’elle déposant quelques baisers dans son cou. Tu mourrais d’envie de l’étreindre, mais quelque chose en toi te l’interdisait. Elle n’était pas comme toutes ces filles que tu avais connu auparavant. Elle était importante pour toi, et l’angoisse de tout détruire entre vous remontait lentement mais sûrement à la surface. Bordel, mais qu’est ce que vous étiez en train d’accomplir ? Ton estomac se nouait. Lentement, tu pris une grande inspiration afin de calmer ton mental qui partait dans tous les sens, tiraillé entre les feux d’artifices et le chaos et tu lançais, murmurant « est-ce que… ? » stop. Tu t’arrêtais avant qu’il ne soit trop tard, espérant qu’elle ne lise pas dans tes pensées, à deux doigts du dérapage. Non. Amis. Vous étiez amisputain, Elliott, mais qu’est ce qui ne va pas chez toi ?!
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Tu n'aurais jamais cru que l'alcool t'aurait aussi vite monté au nez. Et pourtant, tu es là, complètement ivre, mais pas pour autant inconsciente. Tu es ivre de lui, de ses baisers et pourtant tu en es en manque malgré tout, comme une droguée à qu'il manquerait sa dose quotidienne. Pour toutes les fois que tu as manquées, certainement. Chaque baiser qu'il dépose sur ton cou te donne des frissons incroyables, comme jamais tu n'en as ressenti auparavant (ouais... désolés, Arno).
+18:
La chaleur de ton corps contre le sien te donne l'impression d'être complète. Tu n'irais pas jusqu'à parler de profonds sentiments, incapable de penser alors que ton cerveau se protège pour ne pas te faire souffrir, refusant de te laisser aller jusqu'à l'action qui te fera paniquer, mais tu peux parler de cette attraction physique dont tu as besoin et qui te prend aux tripes. Se refusant même à te rappeler que tu vas souffrir quoi qu'il en soit. Parce que tu risques tout ce qui te lie à Elliott en continuant de l'embrasser avec force et fougue, en désirant que vos corps se touchent et se lient sans jamais plus se séparer. Être intime avec un homme... Tu essaies d'ignorer les warnings qui te sont envoyés ponctuellement par ton cerveau comme pour finalement te stopper, laissant ton coeur exploser à la chaleur de la peau d'Elliott. S'il y a nombre de phrases de trois mots que tu pourrais dire, seule une pourrait être concrètement sortie de ta bouche tout de suite.
Désinhibée par l'alcool, si tu comprends ce qu'il craint pour en être au même point lorsqu'il s'arrête, tu es frustrée par ce point d'arrêt, mais n'en montres pourtant rien. Tu le regardes un instant. Dieu qu'il est beau. Et surtout, Dieu que tu désires plus avec lui comme jamais tu n'as désiré personne dans toute ta vie. Tu te mordilles la lèvre inférieure en le regardant. Ton sourire est serein et ton regard plein d'envie. Et pour toute réponse, alors que ces trois mois restent bloqués au niveau de ton cœur, tu acquiesces très clairement, attrapant son tshirt pour le rapprocher de toi.
- Non. Reviens, que tu lui souffles, ayant du mal à laisser ces mots sortir de tes lèvres sans faire complètement imploser ton coeur.
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Le coeur au bord des yeux, tu n’en revenais pas de la proposition tacite que tu venais de faire à Rose. Tacite ? Pas vraiment. Disons que tu t’étais ravisé. Pas parce que tu n’en avais pas envie : Rose était tout ce que tu désirais en cet instant. Mais la peur latente de tout briser entre vous te rendait hésitant, presque malhabile. Alors à demi-mots, tu avais posé la question. Tu ne savais pas si tu voulais qu’elle comprenne, ou qu’elle passe à côté. L’irréparable était si proche et pourtant, tu avais l’impression de nager à contre courant, refoulant l’évidence même.
+18:
Dans les bras de Rose, tu te sentais bien. Pièce manquante du puzzle de ta vie, tu la serrais contre toi, t’avais besoin de son contact. T’étais aimanté à elle, cramponné comme jamais, tes lèvres continuaient de se promener sur la moindre parcelle de peau que te laissaient entrevoir ses vêtements. Tes mains, aussi, se baladaient dans son dos. Tu découvrais sa peau, sa douceur, enivré par son parfum lorsque tu nichais ton nez dans son cou. Seulement voilà. Tu savais qu’aller plus loin serait la goutte d’eau. Et pourtant, tu n’avais qu’une envie. Celle de ne faire qu’un avec Rose, que vos corps se lient et que vos langues se délient. A ses mots, tu lui adressais un sourire doux et retirais ton pull puis le sien, tes lèvres ne mettant que quelques secondes à regagner les siennes « je suis là... » t’étais-tu contenté de répondre dans un murmure. Et tu ne serais parti pour rien au monde. Le coeur léger, tu mourrais de chaud. Tu ne savais pas si c’était la vodka ou les radiateurs qui s’étaient tout à coup déréglés, toujours est-il que tu t’empressais de quitter ton t-shirt, espérant faire redescendre la température… si tant est que ça soit possible.
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Tu ne peux pas t'empêcher d'en vouloir plus. L'évidence même qui se crée dans ton esprit pourtant embrumé par l'alcool défie toute logique et toute l'amitié que tu peux ressentir pour lui. Tout ça va bien au-delà de la simple amitié, et pourtant tu as tellement peur de tout briser.
+18:
Ça ne t'empêche pourtant pas de vouloir continuer. Comme si tu en avais besoin plus que de l'oxygène qui te permet de respirer, tu n'espère qu'une chose : que ton signal pour continuer ne l'empêche pas, lui, d'en avoir envie. C'est peut-être stupide, mais te savoir désirée autant que tu as envie de ne faire qu'un avec lui provoque plus de choses que ça n'aurait dû en temps normal. Ton coeur au bord du gouffre tu es davantage essoufflée par ses battements affolés qui dépassent l'entendement plus que d'autre chose.
Quand il te répond tu ne sais plus si tu dois sourire, rire, pleurer ou simplement râler d'envie. Au lieu de quoi, tu choisis l'option un. Même l'alcool aurait fait de toi une folle pour chacune des autres options. Quand il enlève ton pull - pas très épais, rappelons tout de même que tu as failli crever de froid habillé comme tu l'as été - tu as l'impression d'avoir crevé de chaud tout ce temps, comme s'il te libérait d'un poids. Profitant de son torse, aussi nu que le tien - à cela près que tu as un sous-vêtement en plus bien entendu-, tes lèvres se déposent sur chaque parcelle accessible de celui-ci. Quand les siennes arrivent sur la partie de tes épaules qui était "cachée" par ton pull tu n'es plus certaine que d'une seule chose : tu es là où tu dois être et, même si le lendemain tu ne seras plus forcément du même avis, c'est ce dont tu as besoin, la chose à faire.
Ton canapé n'étant pas particulièrement large et un chouïa inadapté à une Rose fortement alcoolisée, tu tentes plus que maladroitement et avec bien de la difficulté, de renverser la situation qui vous fait être plus ou moins assisl'un sur l'autre pour être celle au dessus. Sans trop de succès, tu arrives cela dit, tout en échouant lamentablement, à faire en sorte de ne pas être coincée dans ton canapé trop inconfortablement. Tu poses alors ta main sur son visage, caressant le haut de sa joue avec ton pouce, redoublant d'intensité dans tes baisers, agrippant son dos sans même comprendre que tes ongles sont peut-être trop enfoncés dans sa peau tant tu fonds de plaisir sous ses baisers.
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Elle ne t’avait pas repoussé. Dans ta tête comme dans ton coeur, des milliers de feux d’artifices éclataient. Peu à peu, tu parvenais à laisser de côté tes craintes. Ne pas laisser de place pour les états d’âme : Tu voulais profiter entièrement de ce moment qui t’était donné avec Rose et tu ne laisserais pas ton mental t’en empêcher.
+18:
ton coeur s’accélérant, ton souffle se faisait court tandis que tes lèvres langoureusement sur la peau de la jeune femme. Doucement, ta main se glissait entre le tissus du canapé et son dos, que tu libérais de l’entrave de son soutien-gorge. Ta peau contre la sienne, tu frissonnais au contact de ses lèvres sur ton torse, tu l’aidais à prendre le dessus, amusé – ou peut-être attendri par l’à peu près de ses gestes malhabiles tandis que ses ongles se plantaient dans ton dos, t’arrachant un soupir de surprise, et non de douleur. Sourire aux lèvres, tu déposais un baiser dans son cou, défaisant ta ceinture tandis que tes lèvres regagnaient les siennes. Il n’était pas encore trop tard pour rebrousser chemin, mais pour être honnête, tu n’en avais aucune envie… Et Rose, elle non plus, ne semblait pas vouloir abandonner ce moment qui n’appartenait qu’à vous. Tant pis pour la pizza, ce n’était plus de nourriture que tu avais faim, mais bien d’elle.
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▎ Your age : 30 ans (déc.1992)
▎ Your preference : son univers ne s'est jamais étendu à autre chose qu'aux hommes, seuls êtres jusqu'à présent capables de faire chavirer son coeur fragile.
▎ Job/Studies : après de longues études au MIT, Rose travaille dans une entreprise de base et sauvegarde de données informatiques. mais elle est surtout une indic pour le FBI grâce à ses talents de hackeuse
▎ En savoir plus : SAGITTAIRE - née le 15 décembre 1992 à New York
M Y E S S E N T I A L ♡
Do you remember the nights we made our way dreaming, hoping of being someone big? We were so young then we were too crazy... in love
A V E C T O I J E N E P A S S E P A S D E L ' A M O U R À L A H A I N E
A N D I F O U N D L O V E W H E R E I T W A S N ' T S U P P O S E D T O B E, R I G H T I N F R O N T O F M E
F E E L S L I K E C O M I N G H O M E
We may only be cousins, but you're more like a sister to me
Ton envie d'être dans ses bras et d'être sienne pour quelques minutes ou quelques heures est à son paroxysme. Parfaitement consciente du fait que tout ton corps est en alerte, tu inspires profondément.
+18:
Non, ce n'est pas seulement de l'alerte. Chaque parcelle de ton corps est en ébullition. Tu as arrêté de penser, ou du moins en majeure partie. En réalisant la tension qui monte entre vous et qui chauffe bien plus la pièce que n'importe lequel de ses radiateurs, tu ignores comment tu as pu passer à côté de ça. À côté de lui. Rien d'irréparable ne s'est encore déroulé entre vous et pourtant tu es déjà bien plus heureuse et comblée que jamais tu ne l'as été dans ta vie.
Tu le sens dégrafer ton soutien gorge et tu n'hésites pas à l'aider à t'en débarrasser en le jetant quelque part dans la pièce sans réellement y prêter attention. Machinalement, sans pleinement le réaliser, alors qu'un sourire malicieux vient étirer tes lèvres, tes mains se joignent au ciel pour l'aider à défaire sa ceinture. Ce qui ne t'empêche pas de continuer à l'embrasser partout où tu le peux, sur toutes les zones qui, toi, te font du bien, essayant d'oublier tout ce que tu sais, ce que tu as appris de l'intimité, préférant le redécouvrir avec Elliott. Et, toujours aussi malicieuse, comme pour l'encourager à ce que vous continuiez, comme si tu craignais que vos doutes ne l'emportent, tu déboutonnes ton jean, prête à être plus dévêtue que jamais devant lui.
Il a pris mon coeur en lot de consolation On fera p'tet pas l'tour de la Terre, mais ma plus grosse dépendance c'est toi.