▎ En savoir plus : VIERGE - né le 22 septembre 1984 à Fall River
› Uriah, c'est le genre de personne qui fonctionne à l'adrénaline. Il aime le frisson, il aime avoir le vertige et le cœur qui tombe dans les méandres de l'inconnu. C'est comme ça qu'il s'amuse et c'est comme ça qu'il profite de sa vie. › À presque trente-neuf ans, on peut dire qu'il est un handicapé des sentiments. La raison est simple, il n'a jamais ressenti d'amour pour une fille : les femmes lui plaisent, il flirte, passe un bon moment, mais ça ne va jamais plus loin. C'est comme s'il était incapable de s'attacher à ce point. › Avant de finir en rédaction d'une petite chronique dans un magazine, Uriah a d'abord été un illustrateur. D'abord pour le plaisir, puis il s'est fait remarqué et l'a été en "freelance" tantôt pour un petit journal du coin, tantôt pour quelques maisons d'édition et librairies. Il a également fait quelques affiches pour des événements, mais plus durant son temps libre qu'autre chose. › Si à l'école il n'était pas tout à fait l'élève modèle - voire pas du tout - il a toujours été passionné d'histoire et d'art, seules matières qui n'ont jamais vraiment réussi à éteindre son attention... avec quelques cours de littérature, mais si peu... › À partir de sa majorité, il a commencé à voyager. Il revenait de temps en temps à Fall River, pour dire que ses parents lui lâchent la grappe et repartait aussitôt. Tous ses voyages ont toujours eu pour but d'assouvir sa passion et son besoin d'en apprendre plus sur les sujets qui l'intéressaient. Ainsi, il a beaucoup visité l'Europe et particulièrement la France, l'Italie, la Grèce et la Turquie, mais aussi des pays comme l'Egypte, qui regorgent d'Histoire et d'Art antiques. › Depuis tout petit, s'il y a bien quelque chose dont il est fier, c'est sa famille. C'est peut-être la partie la plus originale de tout ce qui le définit. Depuis sa naissance ou presque, ses parents sont agrégés famille d'accueil. Il en a vu passer des enfants que ses parents ont pu aider à s'en sortir, à qui ils ont pu offrir un bras pour se relever. L'originalité, de tout ça, c'est que certains ont fini par être adoptés. Les Newell comptent un nombre ahurissant d'enfants, dont la plus grosse partie a été adoptée. Et chaque enfant, que ce soit la loi ou la nature qui les a fait appartenir à la famille Newell, a sa place. Une vraie petite tribu qui se serre les coudes. › Uriah passe son temps dans les expositions, les librairies et tout ce qui est susceptible de relayer l'information artistique dans l'une de ses chroniques. › Il fait comme s'il s'en fichait, mais il tient beaucoup à son apparence. Il passe d'ailleurs beaucoup de temps à coiffer ses cheveux, à les cirer... bref, vous voyez l'idée... › Il déteste plus que tout les réseaux sociaux. Il a conscience que c'est important quand on veut être (re)connu, quand on travaille dans un magazine tout ça tout ça... mais il préfère tellement un vieux journal qui sent le bon papier et l'encre de plomb... Enfin, ça ne l'empêche pas d'avoir un compte sur quelques RS pour savoir ce qu'il se passe dans le monde et être à la page. › Il est polyglotte. Il parle anglais, français, italien, espagnol, portugais et arabe. Il se mélange légèrement l'italien et le portugais, mais se débrouille très bien en français, ce qui l'a beaucoup aidé lors de ses quelques voyages. › Son rêve ultime serait d'écrire un livre illustré par lui-même, peu importe le sujet ou encore le type d'ouvrage.